Chaudronniers auvergnats à Rennes au XVIIIème siècle
Tout a commencé par un signet dans un livre ancien, un feuillet de papier vergé plié en deux, portant l’inscription à la plume "mémoire du chaudronier"(sic) assortie de la mention "payé".
Le contraste entre la qualité de l’écriture et l’absence d’orthographe (écriture totalement phonétique), la consonance plus occitane que bretonne ou gallaise, du nom de l’artisan qui signe Cheilus, ont incité l’auteur à chercher à en savoir plus sur l’identité de notre chaudronnier.
De fil en aiguille, Agnès Thépot avec le support dans le cantal d’Emmanuel Rosset, généalogiste de la vallée de la Jordanne, a découvert qu’il n’était pas seul et a étudié cette migration de chaudronniers auvergnats à Rennes.
Nos chaleureux Remerciements vont à l’auteur Agnès Thépot et à la Société Archéologique et Historique de l’Ille et Vilaine qui ont autorisé la publication de ce dossier par Aprogemere.
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